Le loup et L'ours

Avec sa bande de Viking, Thorolf modifait ce qui manquait afin que l'auberge devienne sienne. Les femmes de sa bande, affectueusement appellé les Valkiries de Thorolf, étaient désormais dans les cuisines. Cinq de ses hommes étaient devenu gardiens. Ils étaient poster de chaque coté de l'auberge et un dans les écuries. Lui, il était devant l'auberge. Il tenait un bout de bois. Sur le panneau, il y était inscrit « Le loup et l'ours». Il était en train de changer l'ancien enseigne sur laquelle il était inscrit « Béniction de dieu». Il venait de la changer. Il était dans la rue, il l'a regardait avec un gros sourrire. Il entra dans l'auberge. Se positionna derrière le comptoir et attendit des cliens.

Valiante passa la porte le regard brillant et le coeur léger. Depuis deux ou trois jours qu'ils avaient passer la porte de Paris et ce n'était que maintenant qu'il ce décidait à ce montrer. Tant d'attente pour soigner sa toilette, trouver vêtements à la mode Française(Bien qu'il n'en eut jamais rien à faire de sa toilette) et vider ces sacs et valise. Presque gambadant il fit un tour bref de l'auberge ce demandant ce qui pourrait bien énerver le plus son frère Yassine: le fait qu'il ne veuille pas rentré dormir avec eux? ou que Valiante est décider de découvrir seul le registre des plaisirs Français -autant féminin qu'autre-. Non, il n'était pas un Baron ordinaire...

«Et bien bonjours! Montrez-moi le meilleur juste pour voir!»

Lança-t-il lâchant son postérieur d'une façon des plus détendus et las. Friant de découvrir les manières des différentes gens de la populace en terre Française. Il craqua poitngets et jointures comme si un défi ce présentait devant lui...Comme autrefois(?)

Thorolf le regarda entrer avec dédains. Bon, un homme féminin! Au moins, ce n'était pas son seul client. Il sortit de derrière son comptoir et fit une halte. Il essuya ses mains contre son tablier, tique d'aubergiste. Il s'approcha à nouveau et lui dit :
« Avez au moins de quoi payez? Cette baraque est belle, les coût sont élevés! »
Il le toisait toujours du regard. Il se tourna et regarda la salle. Ceux qui était présent était tous habillé assez propre. Tous était au minimum bourgeois. Il y avait une dizaine de personnes assient çà et là. Un ménéstrel jouait une flûte douce qui rendait l'endroit apaisante.

Valiante le toisa en riant intérieurement. Au moins il n'y aurait pas de «Salam halicoum» lâcher à son égard! Il sourit d'un aire mesquin rejettant ces cheveux en arrière démontrant ainsi ces deux yeux au couleurs si différentes... Un lueur étrange y brillait. Moqueuse et enfantine à la fois.

« Je vous payerai je vous le promet.»

Un moment durant Valiante fixait toujours le regard de l'aubergiste avec un étonnant sentiment d'amusement profond. Le plus simple qui soit : il ce moquait littéralement du prix! L'accent de Valiante fit frisonner un personnage assez prêt d'eux.

L'aubergiste haussa les épaules. Si cet homme pouvait le payer. Il prit d'abord les dernières informations:
« Vous venez d'où? Voyez, c'est que je veux pas d'ennui. »
Il semblait s'inquiété de la réponse. Il ne voulait réelement pas d'ennui.

Valiante eut un sourire d'amusement qu'il ne put réprimer. L'aubergistre n'aurait pas d'ennuis avec lui ; du moins téoriquement...
La vairon pris appuis sur le comptoir la tête au creux de la main avant le laisser un soupir échapper ces lèvres. Comme si la nostalgie l'habitait déjà.

«Je viens de terre Arabe...Sarrasine si vous préférez. Je suis Baron d'Ibella. Vous n'aurez pas de problèmes...Du moins je pense pas.»

Dit-il. Un demi sourire toujours accroché au visage.

«Et vouus?»

Ajouta le Vairon avec ce ton mi-mielleux mi-chantonnant.

HRP: Désolé, ces temps-ci, je feel pu ben RP...

Thorolf écouta l'histoire de Valiante d'un oeil mauvais. Arabe, C'était mauvais signe. Les sarasins sont pas des bon compagnon de voyage.
« On se fou de l'histoire d'un tarvernier. Par ma bière, Personne ne S'en interresse. C'est 30 écus pour la nuit. Payable maintenant! Le repas vous sera servis dans quelques instants. »
Il tendit la main pour avoir son argent. Avant de lui montrer la table en lui disant
«Vous avez l'embarra du choix. »

Hj: aucun problème. u_u Désolé du retard han
Valiante soupira se levant un peu décus de l'infortune de cette conversation. M'enfin, il se donnait une chance. Il rencontrerais bien quelqu'un d'ici quelques temps...non? Bref, il s'excusa dans sa langue et porta son sac jusqu'à la table que Thorolf lui avait pointé déposant au passage plus d'argent qu'il ne fallait. Qu'il garde le reste diantre!
Il se laissa encore plus lâchement tomber sur l'autre chaise les yeux dans le vague du plafond. Le pied droit rammener sur le tout rebord du siège, ce balancant sur les deux pattes arrière de ce dernier.

«Z'êtes bien aimable malgré tout.»

Il ne rajouta rien. Ça ne valait peut-être pas la peine et puis de toute façon il ne voulait tout simplement pas empiété sur l'humeur de l'homme. Le mettre en colère ne lui attirerait de coup de poing et ralerie. Non non , pas envie du tout... Une petit compliment bien placer le lui eviterais peut-être...